La semaine dernière, nous avons exploré comment nous pouvions entrer – et parfois rester – dans des relations toxiques. Nous avons regardé de plus près ce que pouvait être, pour nous, ce piège des relations toxiques. Aujourd’hui, on réfléchit à en sortir !
Dans un monde idéal, nos relations sont le lieu de la sécurité, du soutien, de l’accueil, de la possibilité d’apprendre et de grandir, de l’épanouissement, de l’amour sous ses différentes formes bénéfiques. Dans notre réalité quotidienne, il nous arrive d’expérimenter des relations toxiques. Et parfois même, il nous arrive de rester dans une relation toxique. Pourquoi faisons-nous cela ? Comment reconnaître ces relations qui nous font du mal ?
Ce qui nous construit en très grande partie, c’est ce que nous expérimentons dans notre première expérience de lien, durant notre enfance. Pour beaucoup d’entre nous, c’est au sein de la famille que nous explorons la façon d’être relié aux autres, comme à nous-mêmes. La manière dont nous allons percevoir que nous sommes accueilli·e·s, accepté·e·s, aimé·e·s va contribuer à déterminer comment nous allons nous vivre en tant que personne et dans nos fonctionnements. Expérimenter l’amour – que nous rêvons inconditionnel – va nous ouvrir les portes de notre existence. Alors explorons cela à travers le « aime », ce « m » que je vois comme un pont entre soi et le monde.
La première conséquence problématique durable de l’état d’hypervigilance est la fatigue – voire l’épuisement. Mais ce n’est pas la seule : retrait social, perte de confiance en ses capacités, diminution de l’estime de soi, projection négative dans le futur, décisions impossibles ou moins pertinentes… la liste peut s’allonger encore. Alors, oui, être hypervigilants, signifie une perte de qualité de vie. Pourtant, ce mécanisme fait partie de ceux que le corps met en place pour aider à mieux vivre. Regardons ce paradoxe de plus près.
Pour que nous puissions vivre au mieux malgré une estime de soi vacillante et (très voire trop) faible, notre système cherche une issue. Il peut automatiser des réponses comportementales diverses, avec deux risques majeurs : la disparition et la violence. Dans cet article, nous allons explorer le versant « comportements violents ». Et c’est un peu l’histoire de la goutte d’eau qui fait déborder le vase…
Vous êtes parfois bloqué·e·s, incapables d’agir parce que vous n’avez pas les moyens (temps, énergie compétences). Vous ne savez parfois tout simplement pas faire et n’avez aucune idée d’actions possibles dans le contexte. Parfois, c’est votre Système Nerveux Autonome qui vous met en sur-protection – et cela pourra faire l’objet d’autres articles… Et parfois, c’est parce que vous confondez deux mécaniques de votre psychisme et êtes persuadé·e·s de ne pas avoir « confiance en vous ».
Vivre en étant acteur·ice de sa vie, vivre en honorant nos intentions et ce qui nous fait profondément du bien, ce n’est pas tous les jours facile, et même si l’on vivait seul·e·s avec soi-même, cela demanderait entrainement et discipline. Quand il s’agit de vivre ainsi en interagissant avec d’autres, alors nous devons muscler notre assertivité.
Ça y est, c’est le début de l’année scolaire, le dernier quart de l’année pour les activités professionnelles qui dépendent de l’année civile ! Alors que la nature se prépare à l’automne, vous vous lancez dans le mouvement. Comment garder les bénéfices des vacances (quand vacances il y a eu !), comment vous donner toutes les chances de vivre agréablement cette période ?
La semaine dernière, je vous proposais d’explorer le processus de la guérison. Pour aller plus loin, cette semaine, nous nous penchons sur cette réalité qui nous étreint dans certaines périodes de nos vies : le fait même d’aller mal.
Nous utilisons les cookies pour vous donner la meilleure expérience possible pour retenir vos préférences à votre prochain passage, tout en respectant vos informations privées. En cliquant sur "Tout accepter", vous acceptez tous les cookies. Consultez "Paramètres des cookies" pour fournir un consentement contrôlé.
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Les cookies fonctionnels aident à réaliser certaines fonctionnalités comme le partage du contenu du site web sur les plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités de tiers.
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site web, ce qui permet d'offrir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site web. Ces cookies permettent de fournir des informations sur les mesures du nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Les cookies publicitaires sont utilisés pour fournir aux visiteurs des annonces et des campagnes de marketing pertinentes. Ces cookies suivent les visiteurs sur les sites web et collectent des informations pour fournir des annonces personnalisées.
Les cookies nécessaires sont absolument indispensables au bon fonctionnement du site web. Ces cookies assurent les fonctionnalités de base et les caractéristiques de sécurité du site web, de manière anonyme.